William Euradic, étudiant en filière générale, promotion 2021 (Nina Simone)

Pourquoi avez-vous choisi cette majeure ?

« J’ai intégré Sciences Po Lille directement en 4e année. La majeure CED [ancienne majeure PHD] est donc un choix bien réfléchi qui s’inscrit dans la continuité de mes études antérieures (Étude de droit et d’humanitaire) et mes actions de terrain en France ainsi qu’à l’international. »

Qu’est-ce qui vous plaît le plus ?

« Ce qui me plaît le plus est l’accompagnement particulier qu’on peut avoir aussi bien dans l’acquisition d’apports académiques tout en nous préparant petit à petit à entrer dans la vie active via les diplômés des années antérieures et les intervenants extérieurs. »

Qu’est-ce que cette formation vous a apporté ?

« Cette formation m’a apporté une multidisciplinarité et un début de réseau professionnel, ce qui je l’espère me sera très utile dans les années à venir. »


Lucie Laurens (4A CED)

Pourquoi avez-vous choisi cette majeure ?

« J’ai toujours penché vers les relations internationales, et après un stage dans le domaine du maintien de la paix, j’ai souhaité intégrer la majeure conflits et développement. Les cours qui sont offerts permettent de toucher à la résolution et transition du conflit, ce qui m’intéresse particulièrement mais aussi aux questions d’humanitaire et d’aide au développement, ce qui me permet de garder mes options professionnelles ouvertes. »

Qu’est-ce qui vous plaît le plus ?

« Ce qui me plaît le plus en CED c’est la possibilité de choisir des aires géographiques et thèmes de spécialisation au fur et à mesure du parcours, pour petit à petit préciser ses intérêts. Grâce à ça, nous avons chacun la possibilité de personnaliser notre master à l’image de ce qui nous plaît et ce que l’on attend de notre future vie professionnelle. Ce que j’aime également c’est d’être entourée d’une classe de personnes ayant les mêmes objectifs et intérêts. »

Qu’est-ce que cette formation vous a apporté/vous apporte ?

« Cette formation m’a apporté de bonnes connaissances théoriques sur tous les champs de la paix, l’humanitaire et le développement, à partir de différentes études de cas, et l’occasion de les défendre et expliquer à l’oral à plusieurs reprises. Tout en me préparant petit à petit à la réalité du terrain, notamment grâce au parrains, marraines et alumni. »


Jade Palma (4A CED)

Pourquoi avez-vous choisi cette majeure ?

« Je suis très intéressée par les questions de développement éducatif et particulièrement à l’international, de coopération entre les pays en éducation notamment, il y a donc un double versant développement/diplomatie qu’offrait la majeure que je trouvais très complémentaire. Le fait donc de pouvoir ensuite m’orienter plutôt en Ambassades, vers l’AFD, en ONG, ou en Organisation Internationale (ONU, UNESCO, PNUD…) ne nous enferme pas et nous permet d’avoir des visions transversales dans nos domaines. »

Qu’est-ce qui vous plaît le plus ?

« Pouvoir me professionnaliser peu à peu et surtout ce semestre où l’on rentre dans plus de précisions (Droit des conflits armés, politiques du développement notamment). Avoir le choix d’étudier certaines régions (Amérique Latine / Moyen-Orient / Afrique / Caucase) de manière approfondie notamment est une grande chance et nous permet de nous décentrer un peu de nos regards occidentaux lorsqu’on envisage la gestion de conflit et les politiques de développement. Garder le format Sciences Po Économie/ Histoire/ Sciences Politiques/ Droit mais sous un angle relations internationales me parait d’ailleurs presque plus légitime et utile qu’au premier cycle. »

Qu’est-ce que cette formation vous a apporté/vous apporte ?

« Les cours de Politiques du Développement sont vraiment complets et apportent un regard critique sur ces politiques qui nous sera fort utile dans la vie professionnelle, on y apprend d’ailleurs les principaux sigles, vocabulaires, acteurs, moyens d’actions, les principales influences qu’on retrouvera au quotidien plus tard. C’est assez plaisant d’avoir conscience qu’on apprend des concepts qu’on utilisera dans nos vies professionnelles et pas seulement des grandes idées comme au premier cycle. »